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hôtel-dieu saint-jacques chalabre - Page 4

  • C’était hier : Grand chantier pour l’hôpital

    L’article mis en ligne avait été publié dans l’Indépendant, édition du vendredi 22 septembre 2000.

    hôtel-dieu saint-jacques chalabreNos aînés ont reçu la visite des élus (photos archives septembre 2000).

    Près de trente ans après, l’Hôtel-Dieu Saint-Jacques va bénéficier d’une nouvelle cure de jouvence par le biais d’un contrat de plan Etat-Région. Celui-ci prévoit le financement d’un bâtiment neuf destiné à remplacer les locaux actuels. De plus, la révision du schéma départemental des personnes âgées adopté par le conseil général de l’Aude, a défini six zones gérontologiques. L’une d’elles est coordonnée par l’hôpital local de Chalabre. Une conjonction d’événements qui engage définitivement la modification prochaine du paysage aux abords du vieux quartier du Chalabreil. Un grand chantier devrait donc bientôt voir le jour sur l’espace du terrain Legrand où le nouvel hôpital local sera érigé.

    A la faveur d’une récente visite d’établissement, Jean-Paul Dupré député, accompagné de Jacques Montagné, maire de Chalabre, Hubert Carcy et Roger Rosich adjoints, ont saisi l’opportunité d’aller à la rencontre des pensionnaires à l’heure du dîner. Ils étaient guidés par Jean-Jacques Aulombard, directeur d’un établissement qui se positionne plus que jamais comme le leader d’une zone gérontologique. Cet aboutissement positif est sans conteste une bonne nouvelle pour le canton de Chalabre, et la reconnaissance du travail de qualité accompli par le personnel et les responsables de l’Hôtel-Dieu Saint-Jacques.  

  • C’était hier : Quand le directeur de l’hôpital met la main à la pâte

    L’article mis en ligne avait été publié dans l’Indépendant, édition du mercredi 30 décembre 1998.

    hôtel-dieu saint-jacques chalabre

    Un rôle inhabituel pour Jean-Jacques Aulombard (photo archives décembre 1998).

    Avec la visite du Père Noël et la proximité des festivités de fin d’année, l’activité bat son plein au cœur de l’Hôtel-Dieu Saint-Jacques où chacun s’affaire pour que les pensionnaires terminent 1998 dans une ambiance de fête.

    De fait, le dévoué personnel de l’Hôpital local déjà très sollicité tout au long de l’année, a revu son rythme de travail à la hausse, ce qu‘il accompli de bonne grâce, aux petits soins pour nos anciens qui le méritent bien. Et à situation exceptionnelle, moyens exceptionnels, c’est ainsi que les filles de la maison de retraite ont bénéficié d’un renfort de choix, en la personne de Jean-Jacques Aulombard, directeur de l’Hôpital venu prêter main forte en cuisine. Non pas pour améliorer l’ordinaire, les « cuistots » y veillent déjà, mais juste pour apporter sa contribution aux préparatifs des fêtes de la Nativité.

    Un concours plutôt efficace que grand-mères et grand-pères n’ont pas été les derniers à apprécier, bien au contraire. Joyeux Noël et Bonne Année à tous.        

  • C'était hier : Le personnel de l’Hôtel-Dieu Saint-Jacques en goguette

    L’article mis en ligne avait été publié dans l’Indépendant, édition du vendredi 25 septembre 1998.

    hôtel-dieu saint-jacques chalabreUn agréable moment de détente, bien trop rare pour le personnel de l’hôpital (photo archives, septembre 1998). De gauche à droite, Florence Bernard, Odette Zabouraëff, Patricia Farré, Anne-Marie Amiel, Dominique Martinez, Muriel Fort, Visita Lorca, Anne Danjou, Christine Sanchez, Marie-Do Röösli, Aline Guilhemat, Suzette Ferrier, Viviane Allias,Pascale Fort, Annie Buscail, Joëlle Fort.

    A force de se croiser dans les couloirs, de galoper d’un étage vers l’autre, les filles de l’hôpital local de Chalabre en arrivaient à ne plus se voir, à l’évidence, la communication « inter-personnel » avait un sacré coup dans l’aile. L’heure semblait grave, et dans l’urgence il fut décidé que l’été ne darderait pas ses derniers rayons de soleil, avant que toutes ces fringantes et pimpantes jeunes filles ne s’assoient enfin autour d’une bonne table.

    Ce qu’elles firent dès le premier vendredi venu, mettant le cap sur la vallée du Blau et plus précisément Puivert, où le dépaysement allait être total. Accueillies par de sympathiques Lusitaniens en un lieu convivial nommé « Rio d’Ouro », les ange gardiens de nos grands-mères et grands-pères auront goûté à cette ambiance qui fait battre le cœur de Braga, Guimaraes ou Matosinhos.

    En ce haut-lieu encore méconnu de la gastronomie ibère et portugaise, chacune d’entre elle aura oublié l’espace d’une « zarzuela », ces petits soucis qui nourrissent l’ordinaire. Bien sûr, la nuit fut des plus courtes, mais qu’importe, puisqu’au petit jour venu et avec un cœur gros comme ça, elles allaient retrouver leurs protégés impatients de découvrir par le menu, tous les détails d’une soirée en vérité très réussie.